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Vous en parlerez à votre cheval...

18 janvier 2009

Addict

En ce moment, j'essaye tant bien que mal de réviser. Et comme à chaque fois que je travaille (ou fais semblant), il faut toujours que je trouve quelque chose d'autre à faire. Des sortes de dépendances se créent, et des pulsions boulimiques m'assaillent. En ce moment, mes drogues sont:

Daria     - La série "Daria"
     - Le lait chaud sucré
     - Danyel Waro
     - Les chewing-gums à la chlorophylle, pour éviter le chocolat
     - Les blogs
     - ffnet
     - Et encore tant de choses!

Il faut que les partiels finissent, et vite.

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18 janvier 2009

Reflets

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13 janvier 2009

Coïncidences...

Avez-vous déjà remarqué ceci? Quand on découvre quelque chose, très souvent, on en entend de nouveau parler dans les jours qui suivent. Cela ne vous est-il jamais arrivé? Très souvent, il s'agit de mots nouveaux que l'on retrouve dans le journal le lendemain, ou dans une publicité; ou alors des personnages célèbres dont on n'avait jamais entendu parler et qui dans la même semaine se révèlent à vous deux ou trois fois. Dans mon cas, il s'agit d'acteurs britanniques.

zoe11_e_3037d1bce01c13631a6a31672519ba90La première est une femme. Il y a quelques années, je regardais un épisode d'Hercule Poirot, chez ma grand-mère. Un personnage secondaire – un écrivain, si mes souvenirs sont bons – était joué par cette femme. Après l'épisode d'Hercule Poirot, c'était au tour de Miss Marple. Et là, rebelote: la criminelle était cette même femme, j'en était certaine. J'engageai alors mes recherches, et découvris, non sans surprise, qu'il s'agissait de la même actrice qui avait joué le professeur Bibine dans les films de Harry Potter! Le monde était bien petit.

keith_allen_855_18124832_0_0_10771_300Le deuxième est un homme. Je vous ai suffisamment tannés avec Robin Hood pour que vous ayez compris que j'ai regardé un bon nombre d'épisodes de cette série. Or en ce moment, je suis dans ma crise « je veux du polar bien classique et bien esthétique », et je me régale avec les séries anglaises diffusées sur TMC. Ce midi, j'ai donc regardé un épisode de Miss Marple. Des crimes, un commissaire de police, jusque-là tout va bien. Jusqu'à ce que je tique sur ce commissaire: ces dents de travers, ce regard bizarre, cette absence de cheveux me rappellent quelque chose. Je vérifie, et paf! Dans le mille, Emile! Il s'agit bel et bien du Shérif de Nottinggham.

(Quand je pense que la première fois que ça m'a fait ce genre de chose, c'était avec Alan Rickman, que je ne connaissais pas, honte à moi. Et admettez qu'entre le professeur Snape et le colonel de Raison & Sentiments – l'amoureux transi, quoi – la marche est très haute! Après je l'ai retrouvé dans Love Actually, Robin Hood, prince of thieves et Sweeney Todd...)

11 janvier 2009

J'veux pas

Demain, mon partiel commence à 8h. Demain, il faut que je me lève à 5h30. Et je n'en ai pas la moindre envie.
Il faut que je travaille, là, maintenant, tout de suite. Puis il faudrait que je me couche tôt, minuit, pas plus tard. Mais je n'en ai pas envie.

11 janvier 2009

Perte de temps

Nouvelle cuisine et nouveau chef, vous maîtrisez au compte-goutte les informations que vous dévoilez et vous vous arrangez pour que le flou artistique embrume vos amis-spectateurs qui ne savent toujours pas très bien si c’est votre avant-gardisme, votre ironie, votre timidité ou votre personne qui parle. Bref, vos interlocuteurs se demandent parfois si vous êtes là.

L'enfer c'est les autres. La vie est trop courte pour s'embarrasser de relations superficielles, marquées du sceau infamant de  la politesse codifiée. Une sortie en boite de nuit représente pour vous une épreuve digne de l'ascension de l'Everest pour un asthmatique chronique, un repas de bureau s'assimile à une traversée de l'atlantique à la rame.

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9 janvier 2009

Nix

- J'aime, une fois l'an, à me souvenir du goût de la neige, et de son discret parfum. -

Lundi

Je ne commence qu'à quatorze heures, alors je me tire du lit tranquillement à neuf heures. J'ouvre les yeux difficilement, et je m'étonne du silence qui règne sur la maison. Je sais que mon père est encore en vacances: il doit dormir. Mais le vide de la cuisine m'inquiète: ma mère n'est pas levée, ce n'est pas normal. Je m'en vais alors lui demander si elle ne commence pas à neuf heure et demi d'habitude. Si. Ah. Brusquement, je réalise que mon frère doit encore dormir comme un bienheureux, lui qui était censé commencer les cours à huit heures. Je vous dis ça, mais ce n'est pas tout à fait vrai: la première chose qui m'a frappée quand je me suis levée, c'était ces flocons qui tombaient dru sur le jardin, cette légère couche de sucre glace qui saupoudrait la forêt. Et toute la journée, je me suis étonnée de voir que la neige continuait, sans se décourager, de tomber sur le sol gelé. Le soir, dans mon jardin, la couche était épaisse, et mes pieds s'enfonçaient avec délice dans l'allée encore vierge de pas.

Mardi

Ce jour, pas d'aller-retour en transports, pas d'aller-retour pour la fac. Ce jour, je dois travailler pour mes devoirs sur table du lendemain. C'est pourquoi à neuf heures, je suis lovée dans le canapé, blottie dans le plaid en patchwork, et je regarde les deux derniers épisodes de Robin Hood. À onze heures, j'attaque mon grec moderne, avant de sombrer dans une sieste qui me conduira jusqu'à midi. Dehors, tout est blanc, et au déjeuner, ma mère me fait le récit du court trajet en voiture qu'elle a effectué. À dix-sept heures trente, je dois être chez mon élève, à un quart d'heure en voiture. C'est le crâne farci des conseils maternels et la peur au ventre que j'ai pris pour la première fois le volant sur les routes enneigées. Même pas mal! (Juste une belle onglée pour avoir gratté la neige du pare-brise sans gants.)

Mercredi

Il fait encore nuit quand je quitte la maison, et après avoir entendu crisser avec un plaisir non feint la neige sous mes pas, dans le jardin, je découvre avec stupeur que les trottoirs de la ville sont de véritables patinoires. Plus de peur que de mal, certes, mais tout de même. À Paris, la déception de voir le square de Cluny fermé « pour cause d'intempérie » me fait perdre le sourire. J'aurais tant aimé traverser le jardin aux simples poétiquement saupoudré de blanc!

Jeudi

Cette nuit, il n'a pas gelé. Mais la soupe glisse presque plus que les larges plaques de verglas. Ce que je n'aime pas avec la neige, c'est quand elle commence à fondre: on se dit que c'est fini pour l'année, et on n'est jamais sûr de la prochaine averse de flocons. Et l'herbe pointe son nez sous la couche de plus en plus fine, la terre répand ses traînées marronnasses sur la blancheur auparavant immaculée. On dit que la neige c'est pur, mais en réalité, elle l'est de façon tellement éphémère que je ne vois que les traces de pas, le sel, les ornières boueuses et les détritus. La neige, c'est beau lorsqu'elle tombe et couvre tout. Après, quand elle s'étiole lentement en une lente agonie, c'est triste.

6 janvier 2009

J'aime Deezer!

Bon, d'accord, je n'ai rien à faire ici, mais vous savez quoi? Je m'en fiche. J'ai en ce moment-même retrouvé le sentiment qui m'étreignait en hK, quand une dissertation m'attendait pour le lendemain. Je ne pouvais alors m'empêcher de bloguer à outrance. Et là, tandis que j'écoutais ma musique tout en conjuguant kanô au futur, je me suis demandé s'ils connaissaient Hugues Le Bars sur Deezer. Et bien oui! D'où le titre. Il faut donc absolument que vous écoutiez ceci:

Bon, je retourne travailler, même si je meurs d'envie de poster une note couinesque et couinante de midinette-qui-s'assume-mais-pas-trop sur Robin Hood (parce que bon, j'ai le DVD qui me nargue depuis tout à l'heure et mes yeux convergent sans arrêt dessus... c'est dur la vie).

(Et j'ai envie d'écrire des fics guimauveuses.)
(Et j'ai envie d'avancer mon site et mes généalogies.)
(Et j'ai envie de...)

6 janvier 2009

Retard

Pour essayer de combler les vides qui s'installent de plus en plus souvent sur ce blog, j'ai eu une bonne idée tout à l'heure: j'ai eu envie d'aller faire de belles photos dans la forêt, pendant que tout est blanc et gelé. Envie de me promener dans le silence étouffé de mes pas, dans le froid caressant de la neige. Et de vous faire partager tout ça. Malheureusement, il y a un obstacle à tous ces beaux projets, et cet obstacle s'appelle « retard dans mes révisions ».

Je suis censée avoir révisé toute ma stylistique latine et mes cours de grec moderne depuis le début de l'an dernier pour demain. Or, j'ai à peine entamé la liste de vocabulaire et les mots grecs ne rentrent décidément pas dans ma cervelle réfractaire. Certes, j'ai eu toutes les vacances pour travailler, mais vous savez ce que sont les vacances de Noël.

Hier, j'ai séché une heure et demi de cours, pour avoir le temps de travailler. Résultat des courses: j'ai mis deux heures et vingt minutes pour rentrer chez moi! (Il n'y a que la SNCF pour annoncer un incident incendie alors que toute la région est figée sous la neige et le verglas...) Alors quand je suis rentrée chez moi, après le dîner, je me suis dit qu'une pause s'imposait, avant d'attaquer les types de phrases chez les historiens latins.

robin

J'ai donc lancé le DVD de la série « Robin des Bois », version BBC. Seulement, au lieu de regarder un épisode, comme prévu, j'en ai regardé neuf. Alors forcément, à quatre heures du matin, il n'est plus temps de réviser. Mais c'est de la faute de la BBC aussi! On n'a pas idée de faire une série qui soit si bien! Et puis c'est Robin des Bois quoi...

Tout ça pour dire qu'au lieu de photos, vous aurez peut-être, un jour, un post sur Robin des Bois. De toute manière, il faut que je vous parle de tous ceux que je connais! Sur ce, je retourne à mes hypothétiques en grec moderne... en écoutant Simon & Garfunkel.

4 janvier 2009

Fin

Deux semaines ont passé. Ma sœur est repartie pour Albi. La nouvelle année a commencé son cycle. Les repas pantagruéliques ont (normalement) pris fin. Le sapin restera dans le salon pendant quelques semaines encore, puis on le rangera jusqu'à l'année prochaine.

Deux semaines ont passé, trop vite à mon goût. J'avais prévu de travailler, comme d'habitude, je n'ai rien fait, comme d'habitude. À peine esquissé quelques notes pour réviser le devoir de lundi. Pas même ouvert mon livre de grec moderne, comme j'avais dit que je le ferais, ni même lancé la grande campagne de traduction plutarquéenne. Nous sommes dimanche, et j'ai tout à faire.

1 janvier 2009

Tradition

Il paraît que ça se fait... alors je vous souhaite à toutes et à tous une excellente année 2009 en attendant un vrai post, consistant et intéressant !

Pour l'avoir dans le crâne ^^

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