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Vous en parlerez à votre cheval...
30 novembre 2012

PS : dédicace de Catherine Meurisse

CATHERINE MEURISSE - Dédicace

Il est beau Marcel, n'est-ce pas ?
J'aime son canapé rayé !

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30 novembre 2012

Salon du livre et de la presse jeunesse à Montreuil...

... nocturne du vendredi soir, pounctuée par les problèmes de métro à l'arrivée.

Outre les quelques achats pour mon CDI bien-aimé, que je me dois de fournir en livres jeunesse, j'ai comme qui dirait fait quelques folies. Mais c'est de la faute des libraires / éditeurs, tellement sympathiques. Et c'est aussi de la faute des auteurs, tellement doués. Les étals de couleurs chatoyantes et chaleureuses, la finesses des traits, l'originalité des titres. Et c'est sans compter sur l'inouïe poésie de certains noms de maisons d'édition ! Bref, au milieu de cette caverne d'Ali Baba, je n'ai pu résister.

montreuil

PS : on a vu Boulet aussi !

28 novembre 2012

En vrac

- Une vidéo / chanson :

- Un webcomic (parfait pour procrastiner) : PhD Comics

phd072508s

- Un aller / retour à Caen prévu pour jeudi, et une journée prévue à Nanterre, demain

- Quelques articles et bouquins en cours de lecture

- Des tas de projets personnels, qui incluent la BD, le latin, le Web...

- Un temps fou passé à faire mumuse avec Spip, sur une de mes innombrables pages Free

- De nombreuses notes de blog en préparation.

PS : Emil a créé un nouveau blogrien que pour ses récits mythologiques !

20 novembre 2012

Akinator, le retour

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J'en avais déjà parlé, et en farfouillant dans l'historique des visites sur ce blog, je suis retournée voir ce qu'il devenait. Mais si rappelez-vous ! Akinator, ce fameux "génie du Web" télépathe, qui devine à quelle personne vous pensez.

Je me rappelle qu'on en a parlé une fois avec un prof, parce qu'en réalité, la technique derrière tout ça est extrêmement simpliste. Même si j'imagine qu'il faut une base de données en amont assez colossale, le principe est le même que notre "ni oui ni non". Et s'il échoue une fois, le personnage auquel vous avez pensé est ajouté à la base. Ainsi il s'enrichit et s'améliore à chaque échec.

Malgré tout, ce petit logiciel reste bluffant. Il a tout de même trouvé Julia Ogden (Les Enquêtes de Murdoch), Monk de la série éponyme et Julie Teeger, la fille de son assistante, Virgile, mon frère, Bertrand Russel, Ingvar Kamprad (fondateur d'Ikea) et Richard Stallman (père de GNU) ! Par contre, je l'ai vaincu avec Antoine Culioli (linguiste spécialiste de l'énonciation), Félix Gaffiot et Solédango (Candélabres). Les deux derniers étaient déjà un échec il y a quatre ans et demi.

montage

 

18 novembre 2012

Copenhague - jour 1

Après avoir découvert avec fascination le métro copenhaguois et nous être installées au onzième étage de notre auberge de jeunesse, nous sommes ressorties, affrontant le froid, pour explorer le Tivoli Gardens. Nous étions samedi, au beau milieu de l'après-midi, et il y avait du monde. L'ambiance idéale pour découvrir un parc d'attraction.

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Je ne suis pas fanatique, d'ordinaire, des endroits trop peuplés, et encore moins regorgeant d'attractions censées donner des sensations fortes. Les montagnes russes n'ont jamais été ma tasse de thé. Pourtant, Tivoli a ceci de particulier qu'il a gardé un certain cachet et une authenticité tout-à-fait charmants.

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Fondé en plein milieu du XIXe siècle, ses montagnes russes nous font basculer non pas au-dessus du vide, mais de quelques décennies en arrière. Bien sûr, ces trains à sensations ne sont pas d'origine, mais Wikipédia m'a appris que l'une d'entre elles date tout de même du début de la première guerre mondiale.

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Au-delà de ces circonvolutions aériennes, l'ambiance est assez unique. Le thème de moment était bien évidemment Halloween, et si nous avons manqué la parade de peu, nous avons eu tout le loisir d'admirer la décoration. Probablement un peu kitsch, mais une sorte de « kitsch bio », où les horreurs en plastique auraient été remplacées par des centaines de citrouilles et coloquintes, logées douillettement dans des bottes de paille et les fontaines éteintes.

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La nuit tombe tôt dans les pays du nord en cette période de l'année. Les guirlandes lumineuses ont commencé, doucement, à éclairer les allées du jardin et les bords de l'étang. À seize heures trente, environ, nous avons commandé à dîner, dans une véranda au-dessus dudit étang. Le plaid en polaire sur les épaules, nous avons pu remplir notre estomac, avant de rentrer à l'hôtel, épuisées et congelées.

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13 novembre 2012

Exploration en cours

Terrain connu, mais je suis finalement entrée dans le saint des saints, la salle 206, la salle des doctorants. On m'y a attribué un bureau, et je m'y suis installée. Murs blancs, trois grandes fenêtres sur la rue et les immeubles hausmaniens en vis-à-vis. Deux grandes armoires pleines de paperasses et de livres universitaires, une imprimante inutilisée, une bouilloire, des mugs et tasses en souffrances, et une multitudes d'auréoles caféinées en dessous. Mon poste est le dix-neuvième et dernier. Pourtant, je n'ai aperçu qu'une demi-douzaine de doctorants tout au plus. Sans doute certains ont-ils des horaires moins réguliers.

Hier, j'ai délaissé le confort de la Sorbonne pour aller voir mon deuxième bureau, à Nanterre. Enfin, ce n'est pas une place attribuée, mais il y a une salle des doctorants où je pourrai me mettre lors de mes visites. Quand je suis sortie de la gare, j'ai été pour le moins dépaysée. Le ciel gris et bas n'aidait pas vraiment à alléger le paysage. Malgré les portes du quatrième étage repeintes en vert vif, je n'ai pas réussi à me départir de ce sentiment d'inconfort. Probablement mes trois années à la maison de la recherche m'ont-elles donné de mauvaises habitudes. Nous râlions, mais oubliions que nous avions beaucoup de chance d'évoluer dans un environnement luxueux.

Un peu perdue, donc, malgré ma guide, je me suis installée dans la fameuse salle. Tout en longueur, cinq postes, l'on m'a conseillé d'utiliser mon ordinateur personnel plutôt que les vieux coucous du labo. Cela dit, les gens sont beaucoup plus chaleureux et accueillants. Ils ont une salle commune pour déjeuner, avec micro-onde et réfrigérateur, concepts inexistants en Sorbonne où c'est plutôt du chacun pour soi. Les enseignants et doctorants déjeunent ensemble. Les discussions vont bon train au milieu des vapeurs de soupe.

La semaine prochaine, je partirai à la découverte de mon dernier bureau, à Caen. Je ferai également connaissance avec de nouvelles personnes, ce qui m'angoisse, comme toujours. Mais je finirai par m'y habituer. J'espère.

13 novembre 2012

Bientôt au cinéma

Le superbe reportage d'Hélène Milano, Les Roses noires, dont je vous ai déjà parlé, sort en salle le 28 novembre ! (plus d'information sur le site Allociné)

Des jeunes filles des cités parlent de leur vie dans la cité, de leur place dans la société, se posent des questions sur les relations avec les garçons, l'école, l'amour, le tout "à travers le prisme du langage"*. Tout part d'une réflexion sur leur rapport à la langue et au langage. On ne peut plus passionnant, et très touchant.


Les Roses noires (bande-annonce)

* Cette expression n'est pas de moi, mais je ne me rappelle pas son origine.

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