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Vous en parlerez à votre cheval...
fac
25 septembre 2011

Euh...

J'aime parler de choses que le je comprends pas vraiment dans mon mémoire :

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24 septembre 2011

Quand...

Quand je commence à errer sur la toile,

Quand je commence à regarder des animes japonais sur Youtube,

Quand je commence à relire les webcomics que je connais par coeur,

Quand je passe deux heures à Gibert, au rayon BD, et que je vide mon porte-monnaie,

Quand j'ai envie de manger n'importe quoi, comme ça,

Quand je commence à m'agiter sans cesse,

Quand je me ronge les ongles,

Quand j'écoute de la musique très fort,

Quand je poste sur mon blog pour procrastiner,

En général,

C'est que l'échéance approche et que le stress fait des ravages.

Heureusement, il y a une chose à laquelle j'ai résisté : manger n'importe quoi.

23 septembre 2011

III

EDIT du23/09/11 à 18h56

Ça y est, je sais comment aborder ma troisième partie. Pour lundi, il me reste :

- la troisième partie (en cours),

- l'introduction et la conclusion,

- les remerciements (même si c'est déjà commencé),

- le lexique,

- la bibliographie (en cours),

- le sommaire

- et les annexes (en cours).

Ça devrait le faire, non ?

 

15 septembre 2011

Directeur

Mon directeur de mémoire est cool. Je m'explique :

- déjà, à chaque fois que je le vois, il me remonte le moral à bloc et me redonne la motivation qui m'avait abandonnée ;

- il a fait plus de la moitié du projet et travaille à mon avis au moins autant que moi dessus ;

- quand on ne trouve pas de salle pour travailler à la maison de la recherche (et même quand il y en a), il me paye un thé au café du coin ;

- il communique par tchat, et a même tenté de m'imposer Skype avec webam et partage d'écran, mais là, j'ai dit non (j'ai toujours des milliards d'onglets ouverts dans mon navigateur et certains ne font pas très sérieux) ;

onglets

- il aime le Canada et n'est pas un grand fan de l'esprit universitaire français ;

- quand je lui demande si ce que j'ai écrit en guise de première partie lui convient, il me répond "YES" : difficile de se retenir de renchérir par un smiley...

Bref, sans lui, je ne serai pas allée bien loin.

15 septembre 2011

... rédaction en cours ...

J'ai réussi à caser "titanesque" et "abscons" dans la même phrase.

Je préfère "en effet" à "parce que".

J'aime les "non seulement... mais encore".

Déformation professionnelle, en quelque sorte.

(Promis, je vais revenir. Lundi, tout sera fini. Ou presque.)

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19 juin 2011

C'est du chinois

Voici, mot à mot, le contenu des photocopies des cours que je suis censée apprendre pour demain :

Le pinyin utilise l'alphabet latin avec les valeurs phonétiques de l'albanais.

Composition interne des caractères -> 11 traits pour le caractère cong = "coeur, oreille, cheminée" -> donne le signe "intelligent". Mais seulement "coeur" et "oreille" ont des valeurs sémantiques. Valeur phonétique uniquement pour "cheminée".

Perso, j'aimerais voir le rapport entre "coeur", "cheminée", "oreille" et "intelligent" !

Sinon, je dois aussi retenir des trucs sur les langue thaï-kadaï, aïnou, mandchoues, le haut-sorabe, l'ossète, le tadjik, les caractères devanagari, le mordve, l'oudmourte, le chleuh ; le drehu et le nongone situent toujours le locuteur par rapport à la mer (dans les indices spatio-temporels de la situation d'énonciation) ; baoulé, nom d'une langue en Côte d'Ivoire signifie "enfant mort" ; savoir écrire 67 toisons de montons en cunéiforme... Autant de choses faciles à caser dans une conversation de tous les jours !

7 juin 2011

Comme ivre

La tête qui donne l'impression qu'elle va imploser. La barre au-dessus des yeux, comme si les ouvrir relevait de l'impossible. Métaphore de la cocotte-minute, du marteau. Toutes se valent, et pas une ne décrit vraiment la migraine.

Le cachet dans un verre, le Coca dans un autre. Le mélange détonnant de la caféine et de l'aspirine. La douleur va se calmer, finalement.

La fatigue. La peur d'oublier quelque chose. Penser à se lever à l'heure. Penser aux cours particuliers. Penser à corriger les copies. Penser que les conseils de classe approchent. Penser à prévenir de mon absence telle date. Penser à aller déjeuner avec le père. Penser à préparer ceci ou cela. Penser à poster la lettre pour l'assurance. Penser à l'année prochaine. Penser aux vacances.

Je me donne mille choses à faire pour ne pas penser aux révisions. Les partiels approchent. Sur les deux semaines et demie de révisions, il n'en reste qu'une, et je n'ai pas commencé. Un projet à rendre pour dans trois jours. Des cours à rattraper. Plein.

Alors je mange. Le sucre coule dans mes veines et m'alourdit. Comme si j'avais bu. Je me sens engourdie, un peu vacillante. Je ne supporte pas le sucre, mais j'aime ça. Il y en a qui fument, d'autres qui boivent. Je mange de la confiture ou du chocolat.

Puis je culpabilise. Alors pour enfouir ce sentiment, je regarde le rayon de soleil percer le ciel de plomb et saupoudrer les acacias devant ma fenêtre. Et j'écoute Andréas Scholl qui chante le Stabat Mater. Vivaldi. La panacée.

12 mai 2011

Java... niaise

"Ne vous déplaise, en dansant la javanaise..." la lala lalala !

Bref. Bientôt deux semaines que je m'arrache les cheveux sur ce projet en java.

Je comptais sur l'aide de mon binôme, qui en fin de compte s'est révélé plus lent que moi... Cette collaboration nous a au moins permis de rester éveillés jusqu'à pas d'heure, pour avancer un tout petit peu plus.

javapasdutout

Des dizaines d'essais, infructueux. Le dernier, échec cuisant lui aussi, a au moins eu l'avantage de faire fonctionner la récusrivité qui m'a posé tant de problèmes jusque-là.

Je vois le bout. De toute manière, c'est à rendre pour demain...

Je sais, je vous parle javanais, mais peut-importe, comme dirait je ne sais plus quel(le) humoriste.

Entre deux lignes de code, ma soeur est rentrée d'Inde, et j'ai fait passer des oraux à des 4e (soutenance de rapport de stage).

J'ai peur d'avoir oublié comment on respire entre temps. Pourvu que ça revienne!

2 mai 2011

Rayon de soleil

Penser arriver en retard, mais être dans la salle de classe avant la prof. Passer les deux heures et demi de cours à relire pour la énième fois le webcomic Cockroach. Mon voisin qui me fait télécharger un film japonais, vraiment pourri selon lui. La prof qui nous donne des exemples de polysémie à n'en plus finir, exemples qui me passent loin au-dessus de la tête.

Passage éclair à Gibert à la fin de l'heure, pour mettre la main sur les tomes 48 et 49 de One Piece (les stocks de Marie-Aude Murail semblent épuisés en ce moment).

Le concile du CDI -prof de philo, prof de français, prof de maths - devant leur café. Je m'installe pour mon déjeuner.

Les cinquième avec leurs exercices sur la phrase simple. J'ai prévenu que je mettrais à la porte ceux qui n'avaient pas leurs affaires. Manque de bol, ce sont mes deux meilleures élèves que je suis obligée d'exclure. Même pas un chieur.

Une heure de trou à me demander quoi faire avec les quatrième en latin. La solution me vient de mon collègue : "Tu travailles sur les jeux du cirque? Montre-leur la fin des Douze travaux d'Astérix."

Et hop, téléchargement de la video, découpage. Installation. Les gamins sont ravis et en redemande. Je me demande souvent l'âge réel qu'ils ont.

Et le clou de la journée, le travail en demi-groupe. Je les installe dans le CDI tout neuf. Avec une petite version. Ils doivent travailler à deux. Et ils le font, presque bien!

C'est là que je me suis rendu compte de leurs progrès. A force de persévérance, j'ai réussi à leur faire apprendre quelques trucs. Et ils ont presque eu l'air de bien aimer ce qu'ils faisaient.

Du coup, quand je suis sortie, la pluie ressemblait à un rayon de soleil. J'étais bien.

Et j'ai pu discuter avec une amie partie en Angleterre, dont je n'avais plus de nouvelles. Et elle m'a annoncé qu'elle serait là pour mon anniversaire (contrairement aux années précédentes).

Et ma soeur rentre dans huit jours. Huit.

Et pour clore cette belle journée, j'ai regardé Les douze travaux d'Astérix. Puis High kick girl, qui était effectivement vraiment nul (j'ai pu découvrir la technique du ralenti du ralenti... énorme !)

1 mai 2011

Ce n'est qu'un début

Le mail avec le devoir de sémantique cognitive est parti. Ça y est, les dés sont jetés.

Alors que je pensais pouvoir me réjouir, je me suis rappelé ce qu'il me reste encore à faire.

Moi qui croyais pouvoir sortir la tête de l'eau, j'ai l'impression d'être encore plus profond dans l'eau vaseuse. Que des algues m'ont aggripé les chevilles et m'empêchent de remonter à la surface.

En apnée depuis le début du semestre. Ou presque.

Et en apnée pour quelques semaines encore.

Avec tout ça, je n'ai même pas le courage de préparer mes cours de latin... Ça attendra demain matin. Tant pis.

noyade

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