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Vous en parlerez à votre cheval...
livres
10 octobre 2011

Bain de bulles [5]

pixie1

Titre : Pixie, vol. 1 "Somnanbulia"

Scénario : Mathieu Mariolle
Dessin et couleurs : Aurore

Editeur : Delcourt, collection "Terres de légendes" (2004)

Statut pour le club BD : accepté

Un petit prince insupportable passe son temps à se plaindre de tout et à rêver de vivre l'aventure. Le soir, son tuteur lui raconte des histoires et lance un charme pour l'empêcher de rêver. Le jour où il se fait enlever par un filou surnommé Pixie, il reste extatique : enfin l'aventure ! Puis les choses ne se passent pas vraiment comme elles auraient dû, et les voilà perdus dans un univers qu'ils ne reconnaissent pas. Pendant ce temps, au palais, il semblerait que cet enlèvement arrange bien les affaires du père...

Le graphisme un peu édulcoré "façon manga" me gène un peu (comme il m'a gênée dans Elinor Jones), mais j'ai choisi ce titre parce que je désespérais de trouver une histoire pour les collégiens. En fin de compte, on se fait à ces couleurs acidulées, et on apprécie les progrès faits avec Elinor. Pas vraiment palpitant, mais le concept du voyage de conte en conte est intéressante (ce thème m'a toujours fascinée) : dommage que les contes ne soient pas connus...

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9 octobre 2011

Bain de bulles [4]

sept_personnages

Titre : Sept personnages

Scénario : Fred Duval
Dessin et couleurs : Florent Calvez

Editeur : Delcourt, collection "7" (2011)

Statut pour le club BD : accepté

"Paris, 1673, funérailles de Molière. Agnès est invitée par Alceste, Argan et Scapin à rejoindre un groupe financé par Harpagon afin de découvrir qui a empoisonné l'illustre auteur. Agnès est dépositaire du secret qui autorise à faire revenir Dom Juan des Enfers, le seul à pouvoir dévoiler le nom du septième personnage, celui qui, selon la légende, fera le jour sur la vérité."

Je dois dire que l'idée de mettre en scène les personnages des pièces de Molière pour enquêter sur la mort de celui-ci m'a beaucoup plu. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai craqué et acheté cette bande-dessinée. Le scénario est bien tourné, l'histoire tient en haleine. Mais ça manque d'une sorte de souffle épique, ou d'un peu d'ironie qui viendrait accrocher et griffer légèrement ces personnages pourtant si riches dans l'oeuvre originale.

Oui, j'aurais préféré des références à la pelle (comme dans De cape et de crocs) et des dialogues plus osés (à la Garulfo). Le graphisme est moyennement intéressant, un peu trop "classique", même si pas désagréable pour autant. Reste l'idée originale, vraiment bonne et intéressante. L'idée d'un testament et d'une dernière pièce, sur les affaires d'empoisonnement à la Cour, jamais publiée est séduisante.

8 octobre 2011

Bain de bulles [3]

garulfo1

Titre : Garulfo, vol. 1 "De mares en châteaux"

Scénario : Alain Ayroles
Dessin : Bruno Maïorana
Couleurs : Thierry Leprévost

Éditeur : Delcourt, collection "Terres de légendes" (1995*)

Statut pour le club BD : accepté

Garulfo est une grenouille. Et il se plaint de la nature qui est mal faite : pourquoi unE grenouille, alors qu'il est mâle ? Il est épris du genre humain et rêve de devenir homme. Il tente le baiser à la princesse (pas commode), mais sans résultat. Alors, après une dispute avec son ami Fulbert le canard, il part en quête d'une fée qui pourrait lui jeter un sort. C'est finalement avec une sorcière qu'il fait un pacte, et le voilà prince, à la recherche d'une princesse à épouser, pour rendre le charme permanent.

Mais Garulfo a beau avoir l'enveloppe d'un prince, il est naïf et a gardé son regard de la grenouille qui n'est jamais sortie de son marais. Il fuit les hommes "méchants" et s'attache au simple paysan qui lui avait sauvé la vie en pêchant le brochet qui s'apprêtait à le dévorer la veille. Il découvre peu à peu la vraie nature de l'homme. Le tout est servi par des dialogues hilarants, plein de références et de tournures désuettes. Les contes de fées ne sont jamais loin.

"Ô dieux chagrins qui m'affublâtes de cette squameuse enveloppe, j'irai contre vos édits, car dussé-je franchir mille lieues, dussé-je vaincre mille périls, dussé-je pour cela perdre mon âme... je serai un homme !" Discours jouissif, dans la bouche d'une grenouille, n'est-ce pas ?

* OK, c'est vieux, mais c'est un classique et c'est génialement bien. Et avec un peu de chance je leur trouverai en occasion s'ils en veulent ! (Il m'ont bien réclamé du Marion Duval...)

7 octobre 2011

Bain de bulles [2]

la_comtesse_eponyme

Titre : Les Lumières de la France, vol. 1 "La Comtesse Eponyme"

Scénario et dessin : Joann Sfar
Couleurs : Walter

Éditeur : Dargaud (2011)

Statut pour le club BD : refusé
[cause : trop de Q et de mots crus]

J'ai craqué quand j'ai lu la quatrième de couverture : quatre cases extraites du livre. Un homme en chemise de nuit, cheveux longs, très XVIIIe, qui déclare "Je dois écrire". Sa tendre épouse lui répond "Soit." d'un air un peu blasé, avant de s'enquérir "Qu'écrivez-vous mon ami ?". Et lui de répondre : "Un pamphlet contre l'esclavage ! J'ai vu au port de Bordeleau la réalité du commerce triangulaire. C'est ignoble et ça me révolte et je me dois de dire au monde que tout ça est inacceptable ! Qu'importe leur couleur, les nègres sont des hommes. Figurez-vous qu'on m'a fait voir un enfant qu'ils ont retrouvé au fond d'un navire ! Il était presque semblable à nous ! Quel scandale ! Je vais... je vais...

- Affranchir cet enfant ?

- Non ! Je vais écrire !"

Et je dois dire que cette entrée en matière, cette irrévérence pour un homme que l'on jurerait être Voltaire ou un de ses semblabes, m'a ôté toute retenue : je voulais en savoir plus.

Une fois dans le volume, malheureusement ou non, c'est beaucoup plus cru, le vocabulaire est choisi en ce sens. La comptesse a le feu au cul et philosophe sur les "chose concrètes" ("Si j'avais pour ambition, écrit-elle, d'attirer l'attention des hommes et d'élever leur connaissance du sexe qui est mien, j'écrirai sur mon cul"), pendant que son philosophe de mari rêve d'écrire pour révolutionner le monde. Malgré tout, certains passages sont impayables, et tout du long ressurgit sans cesse la philosophie. Questions de races, de religion, de philosophie même. Toute cette profondeur de réflexion propre à Joann Sfar. Et son trait torturé, qui rend ses personnages beaux malgré leur laideur. Je ne sais pas si c'est très clair, mais je ne parviens pas à dire mieux.

6 octobre 2011

Bain de bulles [1]

les_peuples_oublies

Titre : Les Peuples oubliés (oneshot)

Scénario : Julien Bertaux
Dessin et couleurs : Lilian Coquillaud

Éditeur : Paquet - collection Bao (2011)

Statut pour le club BD : refusé
[cause : trop bizarre, scènes explicites]

L'histoire est très étrange, et j'ai mis pas mal de temps à comprendre ce qui se passait. Le graphisme plus que déroutant contribue beaucoup à cette perte de repère. Un homme échoue dans un désert suite à un accident d'avion (nous sommes en 1914 ou dans ces eaux-là). Là, il est sauvé par un peuple "oublié" : celui des femmes de Sabat. Femmes qui vivent dans une citadelle dissimulée on ne sait où depuis trois mille ans.

Puis il est question d'autres peuples, de guerres, d'expédition, de fuite, d'oiseaux. Tout finit à Angkor, et je crois bien que je ne sais toujours pas ni comment ni pourquoi.

Une bande-dessinée un brin dérangée-dérangeante, un brin angoissante (toute cette incompréhension - sans doute celle du narrateur aussi) et complètement planante.

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5 octobre 2011

Bain de bulles : préambul(l)e

À la rentrée, j'ai relancé le Club BD au collège. Malgré les petits malins qui se sont amusés à dissimuler au blanco le bas-ventre du B, quinze élèves se sont pointés le jour de la première réunion. Ce jour-là, j'ai promis de leur faire découvrir de nouvelles choses. C'est pour ça que j'ai dépensé plein de sous chez Joseph-mon-ami : pour trouver de la bande-dessinée toute fraîche à leur mettre sous la dent.

bibendum_celeste

Cette tâche, amusante et fort enrichissante, n'est cependant pas évidente du tout. Je n'y connais pas grand chose, et j'ai les goûts d'une midinette de plus de vingt ans, qui aime les scénarios compliqués, les graphismes étranges et les personnages tordus (le must, qui combine les trois à la fois, reste, incontestablement Le Bibendum céleste, de Nicolas de Crécy). En regardant ce que j'avais sous la main à l'appart, je me suis rendu compte que la plupart de ce que j'avais n'était pas vraiment pour des gamins de onze à treize ans. Trop de violence (Kwaïdan) ou des scènes un peu délicates pour des jeunes dans un collège catho (Muchacho), la plupart du temps, ou alors des volumes trop anciens qu'ils rêvent de voir intégrer les étagères du CDI, mais qui ne sont plus édités nulle part (Il y avait une fois).

kwaidan1

Du coup, j'ai écumé les rayons : les occasions, bien sûr, à la recherche de quelques titres dont mon frère m'avait parlé, il y a longtemps, quand il était au collège, ou de titres que j'ai aperçus sur internet. Les nouveautés, pour se tenir un peu au courant de ce qui se passe dans ce monde constamment en mouvement. Résultat de la première récolte : plus de 70% de "perte". En fait de perte, j'ai découvert de superbes histoires, mais trop crues pour les yeux chastes et innocents de mes petits élèves de sixième.

muchacho

Lors de la deuxième partie de chasse, j'ai eu beaucoup plus de chance. Tout est bon pour les petiots. En plus de ça, je viens de me faire une soirée tranquille, vautrée sur mon lit, à dévorer des bandes-dessinées. Ça m'a rappelé qu'il y a longtemps j'allais à la bibliothèque. Non pour faire des recherches ou pour emprunter des romans, mais pour lire, jusqu'à l'heure de la fermeture, des BD. Le plaisir n'a pas changé. Toujours cet émerveillement devant les dessins, avec en plus une admiration certaine pour la narration et le scénario, si particuliers dans ce mode d'écriture.

il_y_avait_une_fois

7 juin 2011

Papa et maman sont dans un bateau

Dernier titre de Marie-Aude Murail que j'ai lu. Une nouvelle perle. Petite merveille de réalisme et de poésie, de cynisme et de beauté. C'est tendre et cruel tout à la fois. Les personnages parlent tous. On se reconnaît un peu en chacun.

papa_et_maman_sont_dans_un_bateau

Le petit, surdoué, un an d'avance, dont les grands de l'école se moquent, et qui admire son papa éperdument. Lui qui aurait tant de choses à raconter, personne n'a le temps de l'écouter.

L'adolescente, qui vit ses propres fantasmes et passe sa vie plongée dans ses mangas. Histoires tordues et personnages ambigus. C'est une fille, mais elle se dissimule dans ses sweatshirts et veut qu'on l'appelle Charlie. Elle ne sait pas qui elle veut être, ce qu'elle veut être, et pour ne pas y penser, elle lit. Et imagine.

Le père, directeur d'agence d'une compagnie de transports routiers qui vient de se faire racheter par une grosse boite, subit la restructuration de plein fouet. Quand l'inhumanité vient tout foutre en l'air.

Et la mère, institutrice en maternelle, fatiguée, qui n'a pas le temps pour ses propres enfants, pas même le temps de leur dire qu'elle les aime.

Un fond de quotidien qui use. Un quotidien tellement vrai qu'il en est palpable. Un sentiment qui étreint le coeur à chaque ligne, à chaque phrase. Les mots sont douloureux. La réalité est douloureuse.

Marie-Aude Murail fait se côtoyer cette sensibilité avec le sarcasme, la parodie, le cynisme. Les critiques fusent à tous les étages - société de consommation, pédagogie-démagogie, adolescence - et les mots sont souvent mordants. Drôles aussi.

Comme toujours dans ses livres, on pleure, on rit, on éclate en sanglots, on sourit. Et la fin nous emplit d'espoir.

6 mai 2011

Divine lecture

Marie-Aude Murail est une déesse. Si si.

D'aucuns disent que la "Littérature jeunesse" ceci, les "romans pour adolescents" cela. Mais au diable les étiquettes ! Pas besoin d'avoir vécu au XIXe siècle ou de tartiner des pages d'une prose prise-de-tête pour écrire divinement bien.

Je dirais volontiers qu'elle est l'unique déesse de mon Panthéon, mais les "écrivains jeunesse" comme on les appelle si stupidement sont bien plus que ça à boire l'ambroisie sur mon Olympe personnelle.

Marie-Aude Murail est étiquetée "Jeunesse". Et alors ? Voilà qui nous fait une belle jambe. Parce que Marie-Aude Murail, son écriture, elle est universelle.

Elle maîtrise tout. Répliques cinglantes, phrases douces et poétiques, violence de la réalité, douleurs quotidiennes, suspens haletant, délire délirant et parfois même le soupçon de fantastico-science-fiction surréaliste. Le rire hystérique succède aux sanglots (essayez Oh boy ! et vous comprendrez pourquoi "sanglots" et non "larmes") et précède le couinement de midinette : la panoplie du sentiment est complète.

Ses personnages sont des idoles. Si si. Des êtres presque palpables tant ils nous ressemblent, sans être nous pour autant. Si ce n'est nous que l'on voit dans le miroir, c'est quelqu'un que l'on connaît.

Quand je lis Marie-Aude Murail, j'ai envie de rencontrer ses personnages et de faire de chacune de ses phrases une citation.

Baby-sitter blues
Le Trésor de mon père
Le clocher d'Agbal
Au bonheur des larmes

Toute la série des Nils Hazard

Oh boy !

Sur la liste d'attente :
les autres Emilien
Malo de Lange, fils de voleur
Papa et Maman sont dans un bateau

25 mars 2011

Seule Venise

Trouvé dans la bibliothèque de la maison et emprunté sur les conseils maternels. C'est sans doute le premier livre que je lis moins d'un an après l'avoir emprunté.

Seule_Venise

Les phrases courtes, fugaces, glissent comme les gondoles sur la lagune. On découvre des personnages seuls, solitaires, qui portent en eux une part de tristesse mais continuent à vivre malgré elle.

Le portrait de Venise l'hiver. Gris, humide, froid. Il n'est pas très flatteur. Et pourtant, j'ai eu envie d'y être. On sent dans ce tableau, non pas une admiration béate pour une ville sublime, mais une admiration secrète pour une ville qui lutte. La description précise de ce que j'ai ressenti les deux fois où j'ai été à Venise. Une espèce de mélancolie enfouie, et comme une idée de mort qui plane en permanence au-dessus des toits de la cité. Et malgré cela, l'envie de certains de ne jamais la quitter.

Et l'histoire elle-même. Qui fait monter les larmes mais n'est pas triste au point de faire pleurer. Juste la gorge qui se serre, les yeux qui piquent un peu.

C'est une belle histoire.

9 février 2011

Liste livresque

EDIT : après relecture, je me suis rendu compte que Lord of Flies se traduisait par Sa Majesté des Mouches, et que par conséquent, ma liste passait de dix à onze...

Taggée par Mimy, voici ma liste. J'ai eu peur de n'avoir pas lu les six livres requis par la BBC, mais l'honneur est sauf, j'en ai dix à mon actif.

Have you read more than six of these books? The BBC believes most people will have read only six of the 100 books listed here. Instructions: Bold those books you've read in their entirety. Italicize the ones you started but didn't finish or read only an excerpt.

En prime, je soulignerai ceux dont j'ai vu une adaptation cinématographique. Figurent en orange ceux que j'ai l'intention de lire, un jour...

1 Pride and Prejudice - Jane Austen
Après avoir vu la série de la BBC, et avoir entendu parler de cette histoire moult fois au lycée, j'ai fini par le lire, ce roman.

2 The Lord of the Rings - JRR Tolkien
Après avoir vu le premier film, je me suis lancée dans la lecture de la trilogie. Mais j'ai largement préféré les films, plus digestes à mon humble avis.

3 Jane Eyre - Charlotte Brontë
Les extraits vus en cours ne comptent pas.

4 Harry Potter series - JK Rowling
Je ne me lancerai pas ici dans une diatribe incendiaire contre les films, et ne dirai qu'une chose : si vous n'avez pas lu les romans, lisez-les !

5 To Kill a Mockingbird - Harper Lee

6 The Bible
A mon actif, l'Apocalypse de Jean, le début de la Genèse et plein d'extraits des Évangiles, que je dois à mes heures de catéchisme...

7 Wuthering Heights - Emily Brontë
cf #3

8 Nineteen Eighty Four - George Orwell
J'avais commencé, intriguée, puis le film qu'on a vu en cours m'a traumatisée. J'ai dû arrêter au milieu du premier chapitre.

9 His Dark Materials - Philip Pullman

10 Great Expectations - Charles Dickens
cf #3

11 Little Women - Louisa May Alcott

12 Tess of the D’Urbervilles - Thomas Hardy

13 Catch 22 - Joseph Heller

14 Complete Works of Shakespeare
J'aime Shakespeare, et j'ai vu pas mal de ses pièces sur scène ( Le roi Lear, Roméo et Juliette, Les Joyeuses Commères de Windsor, Le Songe d'une nuit d'été...), sans parler du film Beaucoup de bruit pour rien de et avec Kenneth Branagh. Par contre, je suis loin d'avoir tout lu.

15 Rebecca - Daphné Du Maurier

16 The Hobbit - JRR Tolkien
Je l'ai largement préféré à la trilogie. J'attends l'adaptation cinématographique.

17 Birdsong - Sebastian Faulks

18 Catcher in the Rye - JD Salinger

19 The Time Traveler’s Wife - Audrey Niffenegger

20 Middlemarch - George Eliot

21 Gone With The Wind - Margaret Mitchell
Je n'ai jamais compris la fin du film, tant je déteste profondément le personnage principal. Scarlett O'Hara m'insupporte au plus haut point. Par conséquent, je n'ai aucune envie de lire le roman.

22 The Great Gatsby - F Scott Fitzgerald
cf #3

23 Bleak House - Charles Dickens

24 War and Peace - Leo Tolstoy
J'ai un énorme a priori sur les auteurs russes, bien que j'apprécie beaucoup le théâtre de Tchekhov.

25 The Hitch Hiker’s Guide to the Galaxy - Douglas Adams

26 Brideshead Revisited - Evelyn Waugh

27 Crime and Punishment - Fyodor Dostoyevsky
cf #24

28 Grapes of Wrath - John Steinbeck

29 Alice in Wonderland - Lewis Carroll
Lecture en cours. J'ai commencé lundi. Et j'aime profondément le Walt Disney.

30 The Wind in the Willows - Kenneth Grahame

31 Anna Karenina - Leo Tolstoy
cf #24. Sans compter que le film - avec Sophie Marceau et Sean Bean - m'a complètement traumatisée. Je n'ai plus jamais regardé les trains de la même façon après.

32 David Copperfield - Charles Dickens

33 Chronicles of Narnia - CS Lewis
Le film du premier épisode m'a paru tellement gnangnan que je n'ai pas eu envie d'aller plus loin.

34 Emma -Jane Austen

35 Persuasion - Jane Austen

36 The Lion, The Witch and the Wardrobe - CS Lewis
cf #33

37 The Kite Runner - Khaled Hosseini

38 Captain Corelli’s Mandolin - Louis De Bernieres

39 Memoirs of a Geisha - Arthur Golden

40 Winnie the Pooh - A.A. Milne
Eh non! Je n'ai même pas vu les dessins animés...

41 Animal Farm - George Orwell

42 The Da Vinci Code - Dan Brown

43 One Hundred Years of Solitude - Gabriel Garcia Marquez

44 A Prayer for Owen Meany - John Irving

45 The Woman in White - Wilkie Collins

46 Anne of Green Gables - LM Montgomery

47 Far From The Madding Crowd - Thomas Hardy

48 The Handmaid’s Tale - Margaret Atwood

49 Lord of the Flies - William Golding
Roman étudié en 4e, qui m'a fait faire pas mal de cauchemars...

50 Atonement - Ian McEwan

51 Life of Pi - Yann Martel

52 Dune - Frank Herbert

53 Cold Comfort Farm - Stella Gibbons

54 Sense and Sensibility - Jane Austen
J'aime tellement le film que je finirai bien par lire le bouquin...

55 A Suitable Boy - Vikram Seth

56 The Shadow of the Wind - Carlos Ruiz Zafon
J'ai failli le lire, un jour. Je l'avais emprunté à la bibliothèque. Et puis je l'ai rendu.

57 A Tale Of Two Cities - Charles Dickens

58 Brave New World - Aldous Huxley
Très bien, même si je lui préfère - de très très loin - Farenheit 451 de Bradbury, qui devrait figurer en tête de cette liste. Non mais.

59 The Curious Incident of the Dog in the Night-time - Mark Haddon
Ma sœur l'a eu à son anniversaire. Et le titre m'a intriguée.

60 Love In The Time Of Cholera - Gabriel Garcia Marquez

61 Of Mice and Men - John Steinbeck

62 Lolita - Vladimir Nabokov

63 The Secret History - Donna Tartt

64 The Lovely Bones - Alice Sebold

65 Count of Monte Cristo - Alexandre Dumas
Autant j'ai adoré Les Trois Mousquetaires, autant, je ne sais pourquoi, j'ai un gros a priori sur celui-là.

66 On The Road - Jack Kerouac

67 Jude the Obscure - Thomas Hardy

68 Bridget Jones’s Diary - Helen Fielding
Je n'ai pas aimé le film, et n'aime pas franchement ce genre de livre.

69 Midnight’s Children - Salman Rushdie
cf #3

70 Moby Dick - Herman Melville
cf #3

71 Oliver Twist - Charles Dickens

72 Dracula - Bram Stoker

73 The Secret Garden - Frances Hodgson Burnett
Film découvert par le plus grand des hasards pendant les vacances de Noël dernières, sur Arte. J'ai été éblouie par la beauté des images, et après quelques recherches, j'ai découvert que le film était tiré d'un roman.

74 Notes From A Small Island - Bill Bryson
cf #3

75 Ulysses - James Joyce

76 The Inferno – Dante

77 Swallows and Amazons - Arthur Ransome

78 Germinal - Emile Zola
cf #3

79 Vanity Fair - William Makepeace Thackeray

80 Possession - AS Byatt

81 A Christmas Carol - Charles Dickens

82 Cloud Atlas - David Mitchell

83 The Color Purple - Alice Walker

84 The Remains of the Day - Kazuo Ishiguro

85 Madame Bovary - Gustave Flaubert
J'ai mis un mois à lire la première moitié, une nuit pour lire le reste. Mais je n'en garde pas un souvenir impérissable. Par contre Isabelle Huppert est classe dans le film.

86 A Fine Balance - Rohinton Mistry

87 Charlotte’s Web - E.B. White

88 The Five People You Meet In Heaven - Mitch Albom

89 Adventures of Sherlock Holmes - Sir Arthur Conan Doyle
Je ne pense pas avoir tout lu. Par contre, j'ai vu tous les épisodes de toutes les saisons de la série avec Jeremy Brett, ainsi que plusieurs films (anciens et récents) et un épisode de la série toute récente Sherlock.

90 The Faraway Tree Collection - Enid Blyton

91 Heart of Darkness - Joseph Conrad

92 The Little Prince - Antoine De Saint-Exupery
Cette lecture ne m'a pas vraiment marquée, à l'exception du dialogue avec le renard, vu en cours de catéchisme...

93 The Wasp Factory - Iain Banks

94 Watership Down - Richard Adams

95 A Confederacy of Dunces - John Kennedy Toole

96 A Town Like Alice - Nevil Shute

97 The Three Musketeers - Alexandre Dumas
Génial !

98 Hamlet - William Shakespeare
Objet d'un exposé en première.

99 Charlie and the Chocolate Factory - Roald Dahl

100 Les Misérables - Victor Hugo
C'est au-dessus de mes forces...

Bilan : cette liste manque cruellement de romans policiers...

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