Et vogue la galère! - Arrivée au port
- vendredi -
Debout à six heures, partie de la maison à sept. Il s'agit de ne pas arriver trop tard aux inscriptions.
Je n'ai qu'une demi-heure d'avance. Il y en a déjà qui attendent. Certains ont des feuilles dans les mains, avec un emploi du temps prédessiné et intitulé « Lettres modernes ». Mouais. J'attends. À neuf heures les tutrices font leur apparition. Il n'y a RIEN pour les lettres classiques. Mais qu'est-ce que je fous là? Panique.
Je vais pour demander. Bureau 334. Une feuille collée sur la porte m'apprends que les inscriptions se font en 345. D'accord. C'est la salle à côté de celle où j'attendais. Pas étonnant que je n'aie rien vu: il n'y avait personne. Entre temps, deux filles sont là et discutent. Apparemment, au moins une des deux sort de prépa (Condorcet... O.o).
Ohoh! Les tutrices de Lettres classiques arrivent! Ça commence bien: elles parlent de bouquins dont je n'ai jamais entendu parler! (bon, pour me rassurer, je me dis que c'est normal, c'est de la litérature contemporaine) On entre dans la salle. On prépare nos emplois du temps. On s'inscrit.
Et C'EST LA, que je réponds à plusieurs de vos
commentaires, chers lecteurs, que j'ai semblé ignorer:
JE N'AI PAS DE COURS QUI SE CHEVAUCHENT !!! Parce que je suis
consciencieuse, j'ai pris les groupes en fonction de ça. Du
coup, je me retrouve avec un emploi légèrement
très distendu... Si ça vous intéresse, cliquez ici...
Au retour, je suis avec el Teckel. Et nous dicutons de tout, de rien. J'essaye d'oublier que je ne verrai pas le jour durant l'hiver...