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Vous en parlerez à votre cheval...

11 juin 2007

Secrets de famille

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10 juin 2007

Velours brodé & Cie

velours_2Choisir un ou deux morceaux de tissu dans le placard de la mère, sortir sa boîte d'épingles, solliciter son imagination et le tour est joué! Vous avez un costume qui ne coûte rien et qui est entièrement recyclable puisque non cousu. Mais attention: vous ne pourrez en aucun cas avoir le plaisir de le passer: les épingle sont directement enfoncées dans le mannequin...

Voilà comme je m'occupe mors des pluvieuses après-midi de printemps...

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5 juin 2007

J'en ai rêvé: Alice au Pays des merveilles

yper_alice02Récit en rêve, cauchemar éveillé. Ce dessin animé, il paraît que je l'ai regardé des centaines de fois quand j'étais petite. Pourtant, c'est certainement le plus angoissant de tous. Il exprime les peurs d'enfance, les peurs irrationnelles. Se perdre dans une forêt, l'obscurité, la noyade, la chute dans le vide, le labyrinthe, les monstres. Surréaliste et pourtant si familier, cet univers onirique est plus qu'envoûtant. On s'y perd. L'ambiguïté est partout: on ne sait qui nous aidera, qui nous fera obstacle, et ce pour la simple et bonne raison de tous les personnages sont doubles. La dualité. Tous les personnages semblent prêts à aider la pauvre Alice, mais tous finissent par la chasser. La solitude, la cruauté aussi: les huîtres ne finissent-elles pas dévorées? La tyrannie de la reine de coeur. Être jugé coupable alors même que l'on n'a rien fait. Un chat inquiétant. La folie. L'incompréhension. Les mots qui s'effacent, les traces qui disparaissent, le chemin balayé. Ce cauchemar, je n'en ai pris véritablement conscience que lorsque j'ai regardé ce film il y a quelques mois. Je ne me souvenais guère que du mignon lapin blanc et des beaux dessins, des chansons. En grandissant, on se rend compte de la profondeur de ce film. Il est, à mon avis, le moins mièvre de tous.

Passage fort poétique: la rencontre avec la chenille
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Dédicace à Lady Lust: Peignons les roses en rouge (version russe!)
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Le traumatisant Cheshire cat et sa chanson
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La chanson des fleurs

Rencontre avec la Reine de coeur

30 mai 2007

J'en ai rêvé: souvenirs

luciferLongtemps j'ai été très peureuse. Et s'il y avait une chose qui m'effrayait par dessus tout, c'était le cinéma. Je n'allais au cinéma qu'une fois par an environ, pour voir le dessin animé de Walt Disney qui sortait. Les ''vrais'' films semblaient trop réels. Il y avait des morts, de la violence, l'expression de peurs viscérales... Pour ceux qui connaissent Rock o Rico, si mes souvenirs sont bons, le dessin animé a un début filmé qui met un scène un orage énorme. Et bien, j'en avais peur (je ne l'ai pas revu depuis...). Même dans les dessins animés les ''méchants'' m'effrayaient: je me vois encore partir en courant me cacher dans la chambre de mes parents lorsqu'apparaisait l'horrible Lucifer dans Cendrillon. Au cinéma, je me souviens m'être bouché les oreilles lors de l'apparition du dragon dans La Belle au bois dormant ou à la fin de Pocahontas.

Puis un jour de janvier, en l'an 2002, ma mère décida d'aller voir Le Seigneur des anneaux (je sais qu'il est sorti en 2001, mais le temps qu'il passe au théâtre Fontenay, il fallait bien qu'un mois s'écoulât). Ma petite soeur voulut l'accompagner. Quelle honte pour moi si je n'avais pas le courage d'affronter un petit film de fantasy! Prenant mon courage à deux mains j'y suis allée. Certes, j'ai passé les trois-quarts du film à me boucher les deux oreilles et à fermer un oeil et demi: autant dire que je n'ai pas vu grand chose! Mais j'avais été attirée par quelque chose de particulier: les deux yeux bleus et les cheveux blonds d'un elfe! Alors j'y suis retournée... deux fois. J'étais guérie et aguerrie.

ursulaMaintenant, c'est sans crainte que je découvre de nouveaux films tous les ans. Et avec plaisir que je redécouvre les classiques de Disney. Cependant, j'ai toujours, avant de regarder un film que je n'ai pas revu depuis ma période lâche et peureuse, un zeste d'appréhension. Ce qui me faisait peur dix ans auparavant est resté dans mon esprit avec la même dimension effrayante. L'an dernier, j'ai regardé de nouveau Pinocchio pour la première fois depuis une éternité, et c'était le souvenir de la baleine noire qui m'avait empêché de le regarder avant.

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scène surréaliste et extrêment angoissante: la parade des éléphants roses, Dumbo

à suivre...

29 mai 2007

C'est dit!

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27 mai 2007

Ode à la chaussette rose

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IMGP0012Parce que c'est toi, parce que c'est nous. Tu habites à Perpète, mais ta ville est très jolie. Tu habites à la campagne, mais ta maison est très jolie. Un peu de musique d'antan, quelques chips barbecue, des mélanges de jus de fruits bizarres autant qu'étranges, des pizzas et autres quiches, une salade aux légumes croquants. Une promenade, une partie que cache-cache improvisée et quatre boulets (dont je fais partie avec mon homonyme, la belette – qui fait très bien le bonobo! - et Marcel) qui se perdirent dans Pouars-Jontchartrain et errèrent durant des heures, sans réserves de Granolas et rentrèrent épuisés, ayant retrouvé leur chemin parce qu'ils suivirent leur infaillible flair d'hypokhâgneux...

IMGP0016Le bateau ivre de jus de cactus embarqua les malheureux étudiants dans les affres d'une maladie rose. Du tulle rose, un stylo à paillettes roses, deux polos roses, un débardeur rose, une boîte rose, des meringues roses, un gloss rose, un boa rose, des boucliquète d'oreilles roses... Tout rose pour l'impératrice du rose, la reine des chaussettes, la duchesse Fushia...

Tu es notre seule histoire d'amour. ON T'AIME !

26 mai 2007

Chocolaté...

ind_moulable_01ind_moulable_02Vous connaissez le principe du quatre-quarts? Même poids d'oeufs, de sucre, de beurre et de farine. Vous remplacez la farine par du chocolat et vous obtenez le gâteau indémoulable, à servir à la cuiller. Une couche craquante sur le dessus, presque meringuée et un coeur tendre, à peine cuit. Ce gâteau est meilleur quand il est bien refroidi car moins écoeurant. À déguster avec de l'hypocras bien frais, c'est ce qu'il y a de meilleur...

22 mai 2007

Meringuées...

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Parce que Medina me l'a demandé, j'ai photographié ce que Mimy a appelé "délices culinaires".
Voici les meringues de Jeudi dernier:

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20 mai 2007

Versailles


Le ciel s'assombrissait déjà quand je pris le bus. Le soleil disparaissait déjà quand je montai dans le RER. 21h... J'entamai L'Espoir, sans grand espoir d'y comprendre quelque chose. Je descendis du train. Je sortis de la gare. J'avançai à grands pas. El Teckel m'attendait. Nous avançâmes jusqu'au château. Sur la place d'armes, une foule grouillante. Des hommes, des femmes, de gesticulants gamins en rangs d'oignon, jusque sur l'avenue de Paris. Mais que font-ils? On s'avance jusqu'au fond de la cour. Le parc ferme. Ça veut donc dire que tous ces gens ATTENDENT pour rentrer dans le château??? En désespoir de cause, nous décidâmes d'aller au cinéma.

18752416 Il est 22h. Nous cherchons avidement sur les affiches du Cyrano quel film passe à cette heure. Nous optons pour Jean de La Fontaine, le défi. Une salle minuscule. Le film commence. Sa voix me gêne. Je ne vois pas le personnage, je ne vois que l'acteur. On sent trop que c'est joué. Puis peu à peu, on entre dans l'histoire, on se laisse prendre au jeu. On apprécie. Nous éclatons de rire lorsque la maîtresse du poète s'écrie, outrée: « Je ne veux pas me faire trousser comme une belette! » et lui de répliquer: « C'est pourtant mignon une belette... » Finalement, on l'aura vu le château de Versailles! Ce décors reste splendide. Et la fin du film est particulièrement savoureuse...

Un bon moment de détente, bien que totalement improvisé: qui penserait passer la nuit des musées au cinéma?

18 mai 2007

Transparence.

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