Fly, daddy, fly
Après le film historique, sérieux et dont on peut annoncer fièrement qu'on l'a regardé, je suis passé à un autre film de la filmographie de Lee Jun-Ki. Là, c'était moins glorieux, mais ça a eu le gros avantage de me mettre de bonne humeur.
C'est l'histoire d'un homme d'une quarantaine d'années, qui mène une vie sans problème, jusqu'au jour où sa fille se fait agresser par un jeune homme champion de boxe. Les autorités refusant de faire justice – le coupable a une famille qui possède les relations nécessaires – cet homme (dont le nom est Chang Ka Pil, mais je ne sais pas si c'est très utile de le dire, dans la mesure où je suis incapable de retenir les nos coréens...) décide de prouver qu'il est capable de défendre sa famille. Il va donc s'entraîner en vue d'un duel, et pour ce faire, il demande l'aide d'un étudiant, expert ès-combats (il s'appelle Go Seung Suk, et est interprété par l'acteur objet de mes recherches, seul intérêt réel de ce film).
Une histoire de type « self-improvement » (c'est le nom que je leur donne, mais je ne suis pas sûre que le sens de l'expression corresponde tout-à-fait...), qui finit bien (raison pour laquelle j'ai aimé ce film – je suis fleur bleue et midinette, je le reconnais), avec des histoires de relation familiale et « de la baston ». Je n'avais pas grand chose à demander de plus...
Ah, et bonus: j'ai fini par reconnaître l'acteur qui fait le père comme étant le père d'Iljimae dans la série. C'est exactement le genre de coïncidence-relations que j'aime quand je regarde un film (un peu comme quand on regarde une série anglaise, on est sûr de tomber sur au moins un acteur présent dans Harry Potter).