Virgin snow
Troisième de la série « je passe mes soirées à regarder des films coréens », une comédie sentimentale. Trop lente, trop de guimauve. Mais je l'ai regardée jusqu'au bout.
Intérêt du film (parce qu'il y a toujours un intérêt, outre Lee Jun-Ki): c'est l'histoire d'un Coréen qui débarque au Japon. Coup de foudre interculturel, et barrière de la langue. C'est assez amusant de voir l'expression de cette diversité linguistique, alors que pour nous, toutes ces langues « c'est du chinois ». Pour tout vous dire, je n'étais pas peu fière, à la fin du film, de pouvoir distinguer le coréen du japonais, à l'oreille. De toute manière, ces langues n'ont rien à voir, puisque le japonais est un isolat. Mais ce n'est pas quelque chose à laquelle on pense tous les jours.
Je pense que cet article va achever de me faire passer pour folle. Non seulement je passe mes nuits à regarder des films plus ou moins douteux, mais en plus j'y trouve un intérêt linguistique et grammatical!