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Vous en parlerez à votre cheval...
29 décembre 2007

Les dernières aventures d'Incitatus

~ Mercredi 26 décembre ~

Ce jour, mon frère et moi offrons à notre sœur son cadeau d'anniversaire-Noël. Elle ne sait rien, et nous l'emmenons sur Paris.

Arrivée à la gare, juste à temps pour prendre le train, normalement. Sauf que le train est annoncé « avec un retard de quinze minutes environ ». Tssssk! Nous patientons. Le train est à l'approche, chouette! Le train est à quai. C'est qu'il va vite! Il ne freinera jamais à une vitesse pareille! En effet, le train, tout beau, semi-direct, nous passe sous le nez, laissant échapper dans l'air froid un éclat de rire sadique. Furieuse, j'entraîne frère et sœur sur un autre quai, où le train, cette fois, s'est arrêté. Mais il s'est traîné. Semi-direct, mon oeil!

P1010006À Montparnasse, M4. O.M.G! La foule, la chaleur étouffante, entre Montparnasse-Bienvenüe et gare du Nord. Chouette! Et puis une fois à destination, je me rends compte qu'il faut remonter sur un long morceau, la rue du Faubourg Saint-Denis. Et il fait nuit, et il y a du monde. Au moins, j'ai découvert qu'il existait un quartier pakistano-indien dans Paris... Et enfin, je vois le but de cette escapade nocturne: le théâtre des Bouffes du Nord!

En_attendant_le_songeJe récupère les places et nous montons nous installer à la corbeille, en plein centre. Vue excellente. Et la pièce fut... génialissime! Fous rires quasi-permanents, sourires incessants. Sur scène six acteurs, six hommes, pour jouer tous les personnages du Songe d'une nuit d'été de Shakespeare, rébaptisé pour l'occasion En attendant le songe. Pas de décors, pas de costumes: seulement des accessoires, et des acteurs vraiment bons, qui nous ont fait croire jusqu'au bout au rêve.

Retour par M2 (Barbès, Pigalle, Clichy) puis M13 (je suis enfin en terrain connu). Pas d'attente, ou si peu, à Montparnasse, petit changement à chantiers, et tout fut parfait. Partis à 16h30, nous étions de retour à 22h30, le sourire jusqu'aux oreilles.

~ Jeudi 27 décembre ~

Discuter avec Lu. Attendre l'arrivée du Teckel. Les regarder s'engloutir des tartines de confiture de figues, avec leur thé des écrivain anglais, sorti pour l'occasion. Discuter et délirer, dans la cuisine, dans la chambre. Puis les raccompagner à l'arrêt de bus. Juste de quoi sourire toute la journée. :)

~ Vendredi 28 décembre ~

Cela faisait trois ans que je le lui avais promis: j'ai enfin emmené mon élève au Louvre. Et je ne recommencerai pas de si tôt! C'était tout simplement é-pui-sant.

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D'abord, le train. Puis le Louvre, où je découvre la joie de faire la queue pour payer une fortune l'entrée du musée. Puis le monde partout. Ceci dit, je n'avais jamais visité la partie « Arts d'Islam », est c'est vraiment magnifique! Je n'ai cessé de repenser à notre TPE, que nous avions réalisé, el Teckel et moi, sur la calligraphie arabe. Verreries, mosaïques, tapis persans... Avant de sortir, j'ai voulu montrer à mon élève la Victoire de Samothrace. Nous avons alors traversé moult pièces, complètement différentes les unes des autres, avant de parvenir à descendre l'escalier devant la Victoire, en jouant des coudes.

IMGP0026Pic-nique aux Tuileries, puis direction Saint-Michel. J'en profite pour faire quelques courses à Gibert (et Album). Chocolat viennois à Häagen-Dazs (petite pensée pour Mimy ^^). Puis direction Notre-Dame, où nous tombons en admiration devant l'immense sapin illuminé, sur le parvis de la cathédrale. Vue la file d'attente, nous n'entrerons pas. La nuit tombe, il est temps d'aller voir les Champs.

IMGP0041Métro. Les Champs sont couverts de lumière. À gauche, la grande roue; à droite, l'Arc de Triomphe. Il ne nous reste plus qu'à marcher jusqu'à la tour Eiffel. Mais la demoiselle a mal aux pieds, et elle réclame des histoires pour oublier sa douleur. J'épuise mes stocks: Proserpine, Iphigénie, Electre, Psyche: toutes y passent. Lorsque dans le train, elle me réclama une énième histoire, je refusai net, ne demandant qu'une chose: le silence! Je n'aspirait qu'au calme. Était-ce trop demander? Elle se tint coite jusqu'à l'arrivée...

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Depuis hier, j'ai mal à la gorge et le nez qui coule de plus en plus. Je me shoote donc à l'aspirine, au dafalgan et à l'advil, dans l'espoir d'être encore vivante le 31.

Sur ce, valete!

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25 décembre 2007

Noël grec...

Καλά Χριστούγεννα!

Joyeux Noël! Merry Christmas! Frohe Weihnachten! etc...

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19 décembre 2007

Εἴθε τὸ τέλος ταχὺ γιγνοῖτο!

Pour demain:

- Finir mon petit latin (pour voir la longueur de "l'extrait", cliquez >>ici<<)

- Apprendre mon tableau de rhétorique et mes cours sur l'éthos

- Réviser ma grammaire latine

- Ne pas oublier mon Gaffiot, ni mon dictionnaire de thème

Pour après-demain:

- Penser à l'anniversaire de Leïla

- Apprendre à scander un poème anglais

- Lire les poèmes de la liste des obligatoires

- Apprendre les genres de poèmes, de rimes, de pieds etc.

- Réviser la biographie des auteurs de la liste

Pour samedi:

- Penser à se poser, se reposer, glandouiller

- Faire les paquets cadeaux

- Faire les cartes de Noël

PS: traduction du titre: "Plaise au ciel que la fin arrive vite!" (optatif de souhait, rien que pour zED ^^)

17 décembre 2007

Ubi-quo-unde-qua.

Mes yeux sont lourds de sommeil; la fatigue sourd dans mes membres languissants. Derrière mes paupières closes, des morceaux de tous les jours, des éclats de passé, des brisures de souhaits.

Place Hoche. Des guirlandes dans les arbres. Ma grand-mère, ma mère qui me racontent mes premiers pas. Le vent froid souffle: assise sur un banc, je discute avec la marmotte en attendant de partir prendre mon train. Un rayon de soleil. Combien de fois suis-je venue ici, souriant aux éclats, avec ma cousine? Il y a du monde: il faut trouver une place pour se garer, nous allons déjeuner chez mes grands-parents.

monopoly_2Rue du Faubourg-Saint-Honoré. Dans le mauvais sens, par le mauvais bout. Les gens pleins aux as déambulant du haut de leurs chaussures de marque, sortant des boutiques Prada, L'Oréal etc les bras chargés d'achats. Une carte jaune au Monopoly. Des parties interminables, dans le salon du Faré, sur la grande table, pendant que la neige tombe sur le Mont-Blanc. À chaque fois, je me fais battre à plate couture par mon père et ma sœur.

Truffaut. Caverne d'Ali Baba. Coffre aux trésors. Avant, nous allions à la Ferme de Gally, et nous nous émerveillions, enfants, la fontaine, le bassin, la cascade avec toutes ses plantes et ses poissons rouges. Après, ce fut Truffaut. Observer d'un œil brillant les chiots, les lapins; un regard craintif sur les hamster et cochons d'Inde; une admiration non feinte pour les couleurs chatoyantes des poissons exotiques. Un jour, on y acheta un faux sapin. Cet arbre factice trône en ce moment dans notre salon. Pour me consoler, on me proposa de le choisir.

La Bruyère. J'y entrais la peur au ventre, en seconde. Je ne connaissais personne. J'en sortais la rage au ventre, l'an dernier. J'y connaissais des gens bien. Depuis, ma rage s'est calmée. Je découvre la fac. J'y suis bien. Et c'est avec un autre regard que je lis les chroniques de mes amis khâgneux. Je ne vois plus le château du quatrième étage, je ne traverse plus l'avenue de Paris. Je passe devant la banque de France, et je cours toujours pour avoir mon RER de 40 le matin. Beaucoup de choses ont changé, mais d'autres sont restées, et ça me rassure en quelque sorte.

17 décembre 2007

Jeu de mots laid

"Je lui diiiirai les moooots greeecs!"
(Thanks Dad ^^)

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17 décembre 2007

Les livres les plus...

Personnages féminins préférés
Philippa (Les cinq écus de Bretagne)
Hermione ^^
Kathryn Swinbrooke (saga policière de C.L. Grace)
Didon

6

Personnages masculins préférés
Ron! XD
Jafar, L, Soubi (personnages de mangas)
Colum Murtagh et Owen Archer (sagas policières)
Cyrano de Bergerac
Hauru (Le Château de Hurle)

Personnages asexués
Gaston Lagaffe
L'oiseau d'or (du conte)
Les deux héros de Cape et de Crocs

Personnages féminins détestés
Ginny Weasley (hum...)
Guenièvre

Personnages masculins détestés
Achille (la femmelette)
Pâris
Britanicus

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Le plus bel ouvrage de ta bibliothèque ?
La collection complète des œuvres de Verleine et Baudelaire.

Le plus volumineux ?
J'aurais bien répondu le Bailly, mais mon dictionnaire anglais unilingue le supplante de peu.

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Le plus ancien ?
Le théâtre complet de Sophocle, 1788.

Le plus petit ?
J'ai trois mini-livres: la vie de Molière, « Le bateau ivre » et les droits fondamentaux de l'homme.

La bibliothèque brûle, les dix livres que tu sauves ?
Combien de fois ne me suis-je pas posé cette même question, sans pouvoir y répondre! Je dirais, le quelques vieux livres que j'ai, parce qu'ils sont irremplaçables. Ainsi que ma B.D. dédicacée, of course!

L’ouvrage le plus énigmatique jamais lu ?
À mon seul désir, de Yannick Haenel, qui fut mon prof de français en seconde. Je n'ai jamais fini le livre: c'était sûrement un peu trop abstrait pour moi.

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Le plus malsain ?
Death note (c'est un manga très malsain, ou tous les personnages sont plus ou moins psychopathes à tendance schizophrène!)

Le plus bouleversant ?
Je me souviens avoir pleuré comme une madeleine en lisant Le Lion il y a fort longtemps. Il y a eu aussi Mon ami Frédéric.

La plus belle histoire d’amour jamais lue ?
Ce devait être dans un conte ou un lai de Marie de France. Ceci dit, celle de Didon et Enée est fort belle aussi. Celle d'Eros et Psychée. Je crois que j'aime les histoires d'amour de la mythologie.
Dumbledore et Grindelwald ^^

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Les livres les plus difficile à obtenir ?
L'anthologie de poésie romantique anglaise, et un dictionnaire de thème latin abordable financièrement. Harry Potter en grec ancien.

Le plus inattendu ?
Harry Potter que je refusais catégoriquement de lire (comme Aranna, qui m'a gentiment donné ce questionnaire à remplir). Les Métamorphoses d'Apulée.

Le livre que tu n’arrives pas à finir ?
Du côté de chez Swann, 1984, En attendant Godot et tant d'autres!

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Le livre le plus lu ?
Les cinq écus de Bretagne d'Evelyne Brissou-Pellen dispute la première place aux Robinsons suisses.

Le livre arrivé de manière imprévisible ?
Le théâtre complet de Sophocle, offert par Eric, juste comme ça :-)

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Le livre que tu feuillettes le plus ?
Le... hum... Bailly... (ou le Gaffiot, je crois que c'est du pareil au même).

Livres lus en cachette ?
Quelques bribes de San Antonio, il y a plusieurs années.

Le plus amusant ?
Très bonne question. Je ne sais pas. Je me souviens avoir ri aux larmes en lisant L'Ingénu de Voltaire...

Qui voudrais-tu voir répondre à ce questionnaire ? 
- Mimy
- el Teckel
- zED
- si les Pitous sont toujours vivants...
- qui veut!

14 décembre 2007

Noyade

A3834Pendant une heure et demi, le jeudi après-midi, nous nous efforçons de concert de garder la tête hors de l'eau, de garder la tête hors des mots. C'est le cours de grammaire et rhétorique. Si la logique de la subordonnée nous tient lieu de bouée, le vocabulaire, lui, coule en abondance, détruisant tout sur son passage. Il inonde nos yeux et nos oreilles, nous empêche de respirer, et c'est avec une grande respiration que nous entrons dans la salle de classe, c'est en apnée que nous suivons le cours, c'est en avalant profondément une goulée salvatrice d'air frais que nous sortons, à dix-sept heures. Le professeur attaque ses pauvres élèves sans défense à coups de subordonnées relatives substantivées périphrastiques, thème ou propos de la phrase emphatique pseudo-clivée. Puis, lorsqu'elle nous voit à terre, sans respirer, elle mitraille l'audience de logos, d'éthos, de pathos, de prosopographie, d'éthopée, de physiognomonie, de pragmatique conversationnelle, d'actes illocutoire et perlocutoire, de sémantique pragmatique, d'être discursif locuteur, de corporéisation du narrateur, d'éthos prédiscursif, autant de mots que mon correcteur d'orthographe ignore.

Enfin, nous pensons pouvoir respirer: il est dix-sept heures, nous rentrons chez nous. C'était sans compter le métro en heure de pointe. Nous sommes quatre. Les métro sont tous plus pleins les uns que les autres. Un. Deux. Trois métros passent sans que l'on puisse monter. Enfin, nous forçons un peu, et parvenons à nous nicher au creux de la foule parisienne. Quand je pense en avoir fini, je retrouve la même situation - en pire - sur ma deuxième ligne de métro. Comme je suis seule cette fois, je ne fais ni une ni deux, le rentre dans la rame bondée.

Je crois que j'ai enfin compris pourquoi j'aimais tant le RER. Il n'est jamais plein, on y a toujours une place assise, il est lent, on a le temps de dormir tout notre soul. Que rêver de mieux, pour récupérer d'une après-midi en plongée?

13 décembre 2007

Jour de fête

Aujourd'hui (je sais, je triche, mais j'ai trop peur d'oublier...) c'est l'anniversaire de ma soeur (qui ne lit jamais ce blog), ce qui signifie que c'est la Sainte Lucie...

Bonne fête petit Lu!
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12 décembre 2007

In vraco

* Trois quarts d'heure pour traduire dix-sept vers d'Aristophane sans dictionnaire, c'est court (surtout quand le prof nous donne une aide pour le vocabulaire du type "molis: adverbe")
* Une heure et demi pour commenter un Achille "baru sténachôn" et une Thétis "kata dakru chéousa", c'est frustrant. On n'a pas le temps d'approfondir le parallèle Achille/Patrocle et le rôle du Destin dans tout ça.
* Une semaine pour réviser tout le vocabulaire, toute la grammaire et tout le reste en grec, ce n'était pas assez (même si techniquement, on le savait depuis le 10 octobre - il nous manquait juste l'information "thème sans dico de thème").
* En grec moderne, on a parlé des chameaux que Khadafi a offerts à Sarkozi, la prof aguant que le président devrait songer à ce moyen de transport pour pallier aux crises des transports. Bientôt, le cham'lib en circulation dans la capitale!
* Les Métamorphoses d'Apulée, c'est bien! D'ailleurs, j'y ai lu la version originale et intégrale du mythe d'Eros et Psychée... j'adore!
* La rue Montbauron à vingt-et-une heures passées, c'est désert. Et la cours de Hoche, plongée dans l'obscurité, c'est inquiétant.
* J'ai lu les trois premiers tomes de India dreams, et c'est drôlement bien!
* Mon prof de grec m'a mis un gentil commentaire sur mon interrogation de la semaine dernière: "On sent que le grec devient de plus en plus votre langue" =D
* Demain, je me lève à cinq heures, et c'est tôt. Heureusement que la grève a été annulée.
* .

11 décembre 2007

Clitique? Vous avez dit clitique?

Un professeur parle de Racine à un élève, à la Sorbonne. Il y parle. Il lui parle. Pourquoi il lui y parle n'existe pas? Pourtant, on peut dire qu'il m'y parle, ou qu'il t'y parle! De même, saviez-vous qu'il existait un ordre préétabli pour placer les clitiques... ah, je vois le problème. Qu'est-ce qu'un clitique? C'est un tout petit mot qui, associé à un mot de base, va former ce qu'on appelle un "mot phonologique"; les deux mots (ou plus) seront alors indissociables. Par exemple: il-entend. C'est inséparable: "il" est clitique; "il" est même proclitique, puisqu'il est avant le verbe. Dans "entend-il?", "il" est enclitique. (Je vois les hellénistes dresser l'oreille.) Bref. Je disais donc, un ordre. On dit normalement "je le lui donne"; cependant, dans le pays gallo on entend souvent "je lui le donne".
Maintenant que les bases sont posées, je peux passer aux choses amusantes.Quand on pose une question, que deviennent ces clitiques? Le sujet est inversé: le proclitique devient enclitique. Ex: Viens-je? Ou mieux, Sors-je? Je crois qu'on atteint les sommets avec Mange-je? Ose-je? Dans ces cas-là, la pauvre oreille des Français n'a pas supporté la phonétique atroce de ces mots phonologiques, alors nous avons créé le -é. Mangé-je? Osé-je? Cependant, il y a toujours moyen de biaiser en demandant "Est-ce que je mange?"
De même, les clitiques avec l'impératif donnent lieu à quelques formules qui semblent aberrantes à première vue, et qui sont en réalité tout à fait correctes. Commençons doucement: Donne la  lui! Donne m'en! Jusque-là, rien à signaler. Puis tout d'un coup, votre fille est en retard à l'école; vous hurlez à votre conjoint(e) "Conduis l'y!" Et si c'est vous qui êtes en retard "Conduis m'y!" et non le "moi-z-y" que l'on entend souvent et qui a été inventé de toute pièce par des Français aux mœurs étranges... Continuons: "Sur ce terrain, fais t'y une maison." "Ce devoir sur table, dispensez l'en/m'en/t'en!" (et non moi/toi-z-en). J'en ai conclu "VIVA LE TAKA!" ("T'as qu'à", parce que "T'as qu'à y faire une maison")
J'ai également entendu parler de blague de linguistes... Voyez-vous, nous disons normalement "Promets le moi" et non "Promets moi le". Et les linguistes font des trucs bizarres du genre "Rends le moi le" ou je ne sais pas trop. Bref, les linguistes font des blagues!
Enfin, le milieu de la phonétique est un milieu guerrier extrêmement violent, où les clitiques disparaissent les uns après les autres. La première victime du bloc clitique est le NE. Suivent de près pas mal de pronoms. Surveillez votre langage! A cause de vous des mots meurent chaque jour! Je lui demanderai. J'te dirai rien. C'que j'y ai demandé. Etc. C'est l'hécatombe. Pauvres clitiques...

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